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Quand la conception du mobilier s’inscrit dans une perspective de culture des organisations, les espaces collaboratifs peuvent améliorer le contact entre les personnes et leur travail ensemble.

Dans l’architecture actuelle, il est de plus en plus courant que les espaces fassent évoluer le concept de « mon espace » à celui de « notre espace ». C’est pourquoi les organisations ont besoin d’un large éventail d’options pour leur mobilier afin de favoriser la rencontre créative et le brainstorming, les petites réunions improvisées et le travail en équipe, les présentations, etc.

We are always looking at the relation between people and our furniture

Pourquoi nous nous réunissons ? Que cherchons-nous lorsque nous nous réunissons avec d’autres ? Les sociologues identifient divers motifs pour se réunir qu’on peut classer en quatre catégories :
1. Socialisation et interaction informelle, comme un événement de team-building ou une réception.
2. Exécution tactique de tâches, avec des objectifs de travail clairement définis.
3. Réflexion stratégique et résolution de problèmes à travers des séances de brainstorming.
4. Présentations, discours publics ou autres événements dans lesquels une personne partage des connaissances et des informations avec d’autres.
Akaba dispose d’une gamme étendue de produits qui apportent des solutions à chaque type de réunion.

Notre spécialité est la création de mobilier pour les espaces collaboratifs. .

Chaque espace collaboratif peut accueillir différents types de réunions. Et chaque type de réunion requiert des meubles qui s’adaptent à ses besoins. Parce que les modes de travail évoluent et que de nouvelles manières de partager l’espace apparaissent, dans lesquels les individus veulent décider comment et où ils travaillent. C’est pourquoi nous nous focalisons sur ces nouveaux modes de travail pour concevoir et fabriquer des meubles qui fournissent aux employés le plus de flexibilité possible pour l’utilisation de ces espaces.

Social Spaces to connect. Il existe un large éventail d’espaces générateurs de connexions sociales, depuis les halls de réception et salons jusqu’aux cafétérias et salles polyvalentes. Et chaque ambiance, chaque recoin, doit être considéré, analysé et envisagé de manière individuelle. Les espaces pour s’asseoir et échanger dans tout l’édifice stimulent les conversations courtes et le partage d’idées. Quand c’est possible, on pourra y incorporer des éléments de soft seating.

Execution Spaces to do. Des salles pour le travail en équipe avec des sièges qui permettent à tous les participants de se voir. Les roulettes des tables et des chaises favorisent la séparation en petits groupes. Les petites tables peuvent être utilisées pour se regrouper et créer une surface commune.

Thinking Spaces to research. Les sièges doivent être confortables pour favoriser la détente et permettre aux utilisateurs de se lever ou de changer de position facilement. Ceux-ci doivent aussi pouvoir contrôler la hauteur et la distance auxquelles ils s’assoient. L’espace doit permettre le mouvement fréquent et l’action de s’asseoir et de s’arrêter.

Presentation Spaces to inform. Dans les espaces publics, l’esthétique est particulièrement importante pour communiquer une marque consistante, aussi bien à ceux qui appartiennent à l’organisation qu’à ceux qui lui rendent visite. Dans les espaces privés, les finitions doivent aussi renforcer la marque. Les chaises légères, confortables et faciles à déplacer - éventuellement avec des roulettes - peuvent occuper un espace relativement réduit et être disposées sous de multiples configurations.

Crafted
for comfort
& share

Le mobilier et l’atmosphère sont essentiels pour la création d'espaces de collaboration attractifs.

Aujourd’hui et de plus en plus, les salariés cherchent le contact social, comme une partie de leur expérience de collaboration. Ils veulent se retrouver parce qu’ils savent que de cette rencontre peut naître une idée plus brillante. Mais le problème de certains espaces ouvertement sociaux dans un contexte de travail donné, c’est...qu’on a l’impression qu’il ne s’y produit réellement aucun travail, ce qui engendre une certaine méfiance de la part des salariés. « Si je reste là, on va croire que je ne suis pas entrain de travailler ». La solution consiste à ajouter une touche de « sérieux » à ces espaces, dans le mobilier comme dans l’ambiance, qui puisse préserver les interactions sociales occasionnelles. Tout en permettant ces rencontres informelles, elle doit en même temps transmettre l’image formelle d’un lieu où on travaille. Et c’est dans les détails d’un espace qu’on découvre la personnalité de ceux qui y vivent et y travaillent. De la même façon que la personnalité d’Akaba se révèle dans les détails de son mobilier.